Les mustélidés : le Glouton

Publié le par Manupoleon

Tous ceux qui possèdent un furet/putois (pour les nuls, c'est la même bête) comme animal de compagnie ont dû se dire un jour : "si cette bête était vingt fois plus grosse, l'espèce humaine n'aurait jamais survécu".

Ceux qui ont eu la malchance d'acquérir un furet fou furieux excité par des mois de cage en animalerie se demandent même comment l'espèce humaine a survécu sans se faire bouffer les pieds par les furets. (A ceux là, forcément extrêmement refroidi par l'expérience, Manu peut les assurer qu'un putois peut aussi être d'une compagnie très agréable, et être très doux sans jamais lâcher les crocs pointus sur ses maîtres abasourdis par tant de cruauté.  Et en plus le furet n'abime rien. Une seule règle : en trouver un très jeune qui n'a passé que quelque temps en cage et surtout sans être maltraité, soit par d'autres furets, soit par l'homme. Et s'assurer que vous pourrez rapporter ledit furet au bout d'une ou deux semaines au vendeur, quelle qu'en soit la raison, c'est une question de sécurité publique).

Bref, le furet qui fait quelques dizaines de centimètres est très joyeux quand il est content, mais peut être aussi une redoutable arme de guerre, car il n'a peur d'absolument personne. Imaginez alors un furet d'un mètre ou plus, genre gros chien.

Et bien la bête existe. C'est le Glouton, ou Wolverine (!) en américain. Dans la première vidéo ci dessous, vous verrez un glouton en train de s'amuser comme un furet peut le faire avec son pote humain. Dans d'autres vidéos sur ioutube, vous verrez un autre glouton mettre une trampe à un ours brun cinquante fois plus gros que lui. Ou encore dézinguer deux loups qui passaient par là. C'est tout le paradoxe des mustélidés.

Dans les vidéos suivantes, vous verrez la bête plus clairement. C'est un putois taille XXXXXL.





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